Chez Adamska

Un petit appartement dans lequl Adamska vit seul espérant la venue d'un ou d'une collocataire.

(HJ : On va refaire la fine équipe huhuhuhu, l'équipe de blonds)

Azur s'affaira à bien se préparer pour ce premier entretien d'appartementbauche comme il appelait. Il frappa à la porte tout en recoiffant sa meche rebelle et s'éclaircit la gorge

*Pourvu que le colocataire ne soit pas comme Petits meurtres entre amis.*

(hs: hého mon perso est pas blond !!)

Adamska ouvrit la porte et vit un jeune homme en face de lui.

"Bonjour, c'est pour quoi ?"

*Par la sainteté des protecteurs des futurs colocataires, aide moi !!*

Azur n'avait pas terminé de s'éclaircir la gorge et faillit s'étouffer sous le choc de sa nouvelle rencontre. Voici son nouveau colocataire, sa profession en dépendait.

"Bonjour" commença t-il timidement "en fait, je suis votre, je l'espere, futur colocataire: Azur."

*Miiiiiince, il doit me trouver bête...aaaah*

"ah bon c'est pour la colocation, et bien entre je vais te montrer l'appart'"

Adamska s'écarta du pas de la porte pour laisser entrer Azur.

"Au fait moi c'est Adamska"

"Enchanté"

Azur entra dans l'appartement et n'essaya pas de fureter partout malgre sa curiosité naturelle. Il resta immobile, regardant le vide, attendant que l'épreuve commence. Il fallait surtout faire bonne impression tout en restant spontané mais calculer ses gestes pour ne pas froisser son futur colocataire peut être tout en ne paraissant pas froid et severe et coincé et ringard sans pour autant être sans gene et vulgaire...

*AAAAAAAAAAAAAAH*

Il stresse.

Adamska prit l'initiative.

*Bon je vais lui montrer sa chambre*

Si tu veux bien me suivre, je vais te montrer la suite présidentielle. Dit-il avec un petit sourir.

Il faut que je ris, que je souris, que je pleure de sa blague. Si je ris, il va penser que je suis un gros bêta sans aucune subtilité, si je souris, il va penser que je ne suis qu'un gros naif qui sourit à tout lalalala, et si je pleure, il va croire que je suis trop sensible pour comprendre.
Mon dieu mon dieu mon dieu mon dieu mon dieu mon dieu...

"Ha! Mais je vous en prie" répondit-il.

Des fois, il ne se reconnaissait pas.